Les acteurs – Sucre GARDEL

Les acteurs de la filière

Du planteur de canne au transformateur sucrier, la filière canne est parfaitement structurée et repose sur une diversité de métiers aux savoir-faire bien spécifiques. Découvrons-les !

de 450 à 600

Milliers de tonnes
de canne chaque année
en Guadeloupe

7800

emplois générés
par la canne  à sucre

60000

hectolitre d’alcool pur (hap),
soit près de 12 millions de bouteilles
d’1L à 55 degrés.

2500

planteurs
de canne

machines
à couper la canne

Titans (camions)
transporteurs de canne

Les planteurs

Notre filière est courte : les planteurs sont proches de la sucrerie et à quelques étapes seulement du consommateur final.
Ils sont les premiers maillons d’une chaîne qui, d’une certaine manière, leur appartient.

Le BIO : futur de la filière

De nombreux planteurs ont fait le choix de passer à l’agriculture organique de la canne à sucre. Favorisant la biodiversité, ils sont nombreux à s’être lancés avec succès. Ils font évoluer les pratiques d’agriculture et accueillent les enjeux à venir.

Gisèle Guercy

Planteuse à Anse-Bertrand

Dimitri Mesinel

Planteur à Petit-Bourg

Joël Mamandby

Planteur au Moule

Les acteurs de la filière

de 450 à 600

Les planteurs

J’aime beaucoup ce métier, l’agriculture est essentielle !  Je me suis beaucoup investi personnellement dans mon travail !

J’ai repris le travail de mon père dans la canne. Il faut être sérieux et aimer ce qu’on fait !

Il y a du boulot mais c'est un métier agréable, je me sens bien dans ce métier-là. Je trouve mon énergie dans la terre.

J’ai été élevé dans l’agriculture depuis petit, donc je ne vois pas la difficulté. Je fais ça car j’aime faire ça !

C’est difficile mais j’aime la terre. Je rêvais depuis petite de faire ce métier lorsque je voyais les femmes agricultrices.

Au départ je travaillais à GARDEL puis j’ai décider de vendre ma propre canne.

Mon père m’a légué ses parcelles et j’ai voulu conserver l’héritage familiale. C’est intéressant de cultiver la terre mais il faut être dynamique et aimer le métier.

J’ai toujours voulu être agricultrice mais l’on me disait que c’était un métier d’homme et non de femme. Après avoir fait des études en comptabilité, j’ai pu poursuivre mon rêve et j’ai repris l’exploitation de mes parents.

La canne c’est mon métier de coeur.

Dès petite je travaillais avec mes parents dans les champs de cannes. Il faut aimer la terre pour faire ce métier !

Le BIO : futur de la filière

Les acteurs de la filière

de 450 à 600

Les planteurs

J’aime beaucoup ce métier, l’agriculture est essentielle ! Je me suis beaucoup investi personnellement dans mon travail !

J’ai repris le travail de mon père dans la canne. Il faut être sérieux et aimer ce qu’on fait !

Il y a du boulot mais c'est un métier agréable, je me sens bien dans ce métier-là. Je trouve mon énergie dans la terre.

J’ai été élevé dans l’agriculture depuis petit, donc je ne vois pas la difficulté. Je fais ça car j’aime faire ça !

C’est difficile mais j’aime la terre. Je rêvais depuis petite de faire ce métier lorsque je voyais les femmes agricultrices.

Au départ je travaillais à GARDEL puis j’ai décider de vendre ma propre canne.

Mon père m’a légué ses parcelles et j’ai voulu conserver l’héritage familiale. C’est intéressant de cultiver la terre mais il faut être dynamique et aimer le métier.

J’ai toujours voulu être agricultrice mais l’on me disait que c’était un métier d’homme et non de femme. Après avoir fait des études en comptabilité, j’ai pu poursuivre mon rêve et j’ai repris l’exploitation de mes parents.

La canne c’est mon métier de coeur.

Dès petite je travaillais avec mes parents dans les champs de cannes. Il faut aimer la terre pour faire ce métier !

Le BIO : futur de la filière

J’aime beaucoup ce métier, l’agriculture est essentielle !  Je me suis beaucoup investi personnellement dans mon travail !